- 20 févr. 2019, 16:35
#5694
La grossophobie est le probleme que beaucoup de personnes en surpoids rencontre au quotidien. Si aujourd’hui j’ai décidé de témoigner sur le forum c’est qu’en le parcourant au cours de ces derniers jours, j’ai vu que beaucoup de gens ont soufferts ou souffrent de grossophobie. Je suis une maman, épouse et je me sens en harmonie avec mon corps.
Mais, avant que je sois arrivée à ce point de sérénitude (ça me rappelle les daltons en passant) j’en ai bavé. J’avais mes kilos en trop pendant le collège et je les ai trainés après mon CAP et même à mon lieu de travail. Ils étaient devenus un compagnon de trop, et lorsque je me regarde dans les yeux des autres, je vois un reflet qui n’est pas plaisant (je me trouvais dégoutante). J’étais devenue associable à cette époque, et je restais vautrer dans mon canapé le soir au lieu de faire des sorties avec mes copines.
Le déclic est venu lorsqu’une remarque homophobe m’a touché au plus haut point à mon lieu de travail. Alors, à ce moment, j’ai compris que le problème ne venait pas des autres, mais de moi. Si je ne m’aime pas, les autres ne m’aimeront pas à leur tour. Si je me trouve répugnante, les autres vont faire autant.
Du coup, j’ai commencé à apprendre à aimer mon corps avec mes bourrelets. Les gens trouvent moches les rondeurs, et j’étais comme eux avant. Mais, la différence c’est que ceux sont mes rondeurs, et j’ai décidé de les apprivoiser. Je ne suis pas toute mince, toute maigre, mais j’ai appris à prendre soin de mon corps. Je m’habille mieux, je me coiffe mieux, je me maquille mieux et je mange mieux. Je vous le dis si on vous fait une remarque grossophobe ou une blague désobligeante qui se porte sur votre poids, transformez-la en une motivation pour vous aider à vous aimer davantage.
Mais, avant que je sois arrivée à ce point de sérénitude (ça me rappelle les daltons en passant) j’en ai bavé. J’avais mes kilos en trop pendant le collège et je les ai trainés après mon CAP et même à mon lieu de travail. Ils étaient devenus un compagnon de trop, et lorsque je me regarde dans les yeux des autres, je vois un reflet qui n’est pas plaisant (je me trouvais dégoutante). J’étais devenue associable à cette époque, et je restais vautrer dans mon canapé le soir au lieu de faire des sorties avec mes copines.
Le déclic est venu lorsqu’une remarque homophobe m’a touché au plus haut point à mon lieu de travail. Alors, à ce moment, j’ai compris que le problème ne venait pas des autres, mais de moi. Si je ne m’aime pas, les autres ne m’aimeront pas à leur tour. Si je me trouve répugnante, les autres vont faire autant.
Du coup, j’ai commencé à apprendre à aimer mon corps avec mes bourrelets. Les gens trouvent moches les rondeurs, et j’étais comme eux avant. Mais, la différence c’est que ceux sont mes rondeurs, et j’ai décidé de les apprivoiser. Je ne suis pas toute mince, toute maigre, mais j’ai appris à prendre soin de mon corps. Je m’habille mieux, je me coiffe mieux, je me maquille mieux et je mange mieux. Je vous le dis si on vous fait une remarque grossophobe ou une blague désobligeante qui se porte sur votre poids, transformez-la en une motivation pour vous aider à vous aimer davantage.
